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Les joies de la thèse
25 juillet 2015

Course contre la montre

Il me reste 3 chapitres et la conclusion à rédiger.

Jusqu'à lundi dernier, il ne me restait plus que 2 chapitres et la conclusion. Pourquoi ce changement? Parce qu'entre temps, j'ai vu mon directeur de thèse qui m'a conseillé de parler davantage de la réception dans l'opéra que j'étudie. En effet, par rapport à ma problématique, ce ne serait pas con d'aborder cela. C'est même fondamental dirons-nous. Heureusement que j'ai pensé à photocopier les critiques de presse lors de mes recherches aux archives à Cologne! Je pensais en n'avoir aucune utilité. Ben finalement, si.

A part ça, c'est pas trop mal mais ça pourrait être largement mieux. Notamment en faisant référence davantage aux autres compositeurs. Certes, mais ça demande un boulot dingue. Vais-je avoir le temps????

Il me reste un mois pour finir. Comme je n'ai rarement eu autant de temps à me consacrer à ce grand oeuvre, j'ai l'impression que je suis laaarge. Mais non, c'est très court au fait par rapport à tout ce qui me reste: fin de la rédaction, relecture, compléter les trous, amélioration du contenu (gros, gros boulot en perspective), notes de bas de page, mise en page, annexes, biblio...

A moins de me contenter de quelque chose d'absolument médiocre, il me faut trouver l'énergie pour non seulement finir, mais améliorer autant que possible pour rendre un truc à peu près potable (je n'irais pas jusqu'à oser dire bien, et encore moins très bien, et encore encore moins très très bien).

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Les joies de la thèse
  • Parce que ça dure des années (et on ne sait pas combien de temps), parce que ça occupe les 4/5 de temps de cerveau disponible, autant qu'il reste quelques souvenirs de ce long périple, qui mènera on ne sait où.
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